Tourisme au Maroc / Tourism in Morocco



Tourisme au Maroc / Tourism in Morocco

 

Oenotourisme au Maroc

 

Après-midi à Ouarzazate / Afternoon in Ouarzazate
Le tourisme au Maroc vit des moments difficiles. Le Printemps arabe, les effets de l’attentat du 28 avril 2011 contre le café Argana à Marrakech et un mois de ramadan en plein mois d’août assombrissent la visibilité pour le second semestre, selon des voyagistes. Des réductions d’effectifs sont envisagées.
Depuis l’attentat terroriste de Marrakech le 28 avril 2011, les mauvais chiffres pleuvent sur les voyagistes et les hôteliers marocains. Mais également pour la compagnie aérienne marocaine, qui a réduit sa voilure et reporté son plan social. La Royal Air MAroc a enregistré une baisse de 11% de son activité durant le mois de mai. Les prévisions pour le mois de juin sont encore plus pessimistes. Les pertes sèches sont estimées par le patron de la RAM, Driss Benhima à 20 millions de DH par semaine. La décrue de l'activité touristique au Maroc a commencé à al fin du mois d’avril, selon Abdelhamid Addou, DG de l’Office marocain du tourisme (ONMT). « De janvier à fin avril, la performance globale était très positive parce qu’on a évolué à deux chiffres (au-delà de 10% de progression) aussi bien en termes d’arrivées que de nuitées. Par contre, mai a été un mois très difficile. Nous avons subi une baisse drastique à cause de l’attentat de Marrakech.
« Nous sommes à moins 30% de RevPAR (revenu par chambre disponible) sur certains de nos hôtels à Marrakech », souligne Marc Thépot.
Jet4you, compagnie aérienne low cost, constate, elle, une baisse de 11% sur le marché français.
En termes de réservations, il y a une baisse de 30% sur les mois de juin à juillet », a-t-il confié au quotidien L’Economiste. Pour lui comme pour les professionnels marocains du tourisme, le «printemps arabe » est pour quelque chose dans cette déprime. Beaucoup de pays européens émetteurs surfent sur le printemps arabe et les manifestations de rues pour retenir leur clientèle.
Objectif: la réorienter vers le tourisme interne ». Les opérateurs voient les prochains mois en noir. Beaucoup d’hôteliers ont déjà réduit le nombre de leurs salariés ou les font travailler à mi-temps, « le temps que l’orage passe », selon l’un d’eux.

Tourisme au Maroc

Appartenant à l'industrie des services, qui représente 45 % du PIB de l'économie marocaine, le secteur touristique devient l'un des secteurs prioritaire du gouvernement marocain dès la fin des années soixante. Celui-ci a en effet connu une croissance constante depuis, hormis les évènements du 11 septembre 2001 qui ont provoqué une chute des entrées touristiques. En ce qu concerne ces dernières années, le nombre d'arrivées de touristes étrangers, mais également de Marocains Résidents à l'Etranger, a largement augmenté. Ainsi, en 2006, ils étaient respectivement de 3,6 et 2,9 millions, totalisant ainsi environ 7,5 millions de visiteurs étrangers qui visitent chaque année le Maroc (chiffre de 2007). Ce chiffre inclue les Marocains de la diaspora qui visitent leur famille pendant les vacances, mais le nombre de touristes connaît une très forte croissance (+13 % par rapport à 2006).
Le tourisme est le premier pourvoyeur de devises, loin devant les transferts financiers des Marocains à l'étranger et les ventes des phosphates.
Si la corruption et les violations des droits de l'homme au Maroc n'étaient pas aussi présents, le pays aurait pu offrir beaucoup d'attraits. Avec ses cités impériales trépidantes, ses déserts, ses montagnes, ses parfums et sa musique pleine de créativité, le Maroc reste un "endroit magique" de l'Afrique du Nord et exerce un "charme enchanteur" sur ses visiteurs. De par les différentes influences des acteurs historiques du Maroc, ce pays a acquis une culture à la fois riche et variée.
A peine deux heures de vol, des prix défiant toutes concurrence, des plages ensoleillées et grâce à l'afflux des compagnies aériennes charter et low-cost la Tunisie et le Maroc attirent des millions de touriste. L'entrée en vigueur en 2006 de l’accord d’Open Sky, signé entre le Maroc et l’Europe, a donné un coup d'accélérateur pour la création de nouvelles dessertes. Aujourd’hui, les grandes villes marocaines comme Casablanca, Marrakech, Agadir, Tanger, Fès et Oujda sont reliées à la France, l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni, la Belgique et la Suisse. L’objectif de cette stratégie marocaine ? Atteindre les 10 millions de touristes à l’horizon 2010. Sa position géographique a beaucoup compté dans la venue de ces différents peuples même jusqu’à nos jours. En plus les variétés géographiques dont il dispose ne font que le rendre encore plus attrayant. On peut dire que Maroc a tout les atouts pour faire de lui un pays à vocation touristique. Le choix sur les activités touristiques est large, voire même difficile. Mer et montagne offrent une multitude d’activités faisant ainsi le bonheur des vacanciers. Pratiquement, quand on rêve de vacances, l’image de la mer, d'une plage et de quelques cocotiers vient tout seul et nous fait languir d’avance. Aussi, si on a les moyens de concrétiser ce rêve, il faudrait penser au Maroc. On n'aura même pas à frotter une lampe magique que les rêves pourraient devenir réalité. On serait même tenter de laisser de côté les baignades et les châteaux de sables car ces jeux sembleraient insignifiants par rapport aux autres activités qu'on peut y découvrir. On serait plutôt attiré par le ski nautique, le surf ou les planches à voile. Pour les plus aventureux, amateurs de ballade en nature et de randonnées, les montagnes et les sommets de l'Atlas seront un parcours de rêve. Pour les moins « braves », ils pourront toujours optés pour les vallées environnants et profiter des forêts et du calme qu’elles apportent. D’autre part, il ne faudrait surtout pas se morfondre si un séjour au Maroc en été n’est pas possible car même en hiver, ce pays a encore des ressources qui feront plaisir à plus d’un. En effet, nombreux sont ceux qui en hiver optent pour le Maroc pour skier et rejoignent ainsi les stations qui commencent à être bien équipées avec la présence des télésièges. D'autres activités sont aussi proposées par les différents hôtels. Et bien qu’en terre musulmane, certains mettent quand même des casinos au service de leurs clients. De même des discothèques sont ouvertes pour ceux qui sont férus de musique et de danses, et comme la consommation d’alcool est permise dans ces endroits, l'ambiance ne pourrait être que chaude. L’empreinte des [[arabe]s ayant fait l’histoire de ce pays ne se limite pas à la culture marocaine. Comme les chevaux arabes sont réputés être de race « supérieure », il est aussi possible de faire de l'équitation que ça soit d’une manière « sportive » ou tout simplement pour des ballades nocturnes au bord de la mer. Enfin, on ne se lassera pas de le dire, la culture marocaine est riche, aussi de nombreuses manifestations culturelles font la particularité du Maroc, citons par exemple le Festival National de Folklore qui rend ce beau pays plus intéressant.
Au Royaume, elles sont plus d'une vingtaine de compagnies aériennes régulières (sur un total de 45) à avoir fait leur entrée dans le ciel depuis la libéralisation du secteur aérien en 2004. Deux compagnies battant pavillon national ont été créées : Atlas Blue, filiale de la Royal Air Maroc, et Jet4You, compagnie privée à capitaux marocains et allemands (groupe TUI).
Tourisme culturel au Maroc

Harcèlement et arnaque, ces vrais maux qui menacent notre tourisme

Harcèlement, arnaque, faux guides, vendeurs ambulants et autres abus, tels seraient les souvenirs que beaucoup de touristes qui visitent Marrakech et les autres villes du Maroc emportent avec eux. Et cela porte un coup au taux de retour, car, qu’on le veuille ou non, la meilleure publicité pour une destination touristique reste le bouche à oreille. Quelle est la part de vérité dans cette perception négative ? Les professionnels du tourisme relèvent tous qu'il y a une recrudescence de ces phénomènes, après qu'ils aient été un moment maîtrisés.
Tourisme balnéaire

Les stations balnéaires méditerranéennes
Saidia
Cap de l'Eau
Nador
Al Hoceima
Martil
Cabo negro
M'diq
Tanger
Les stations balnéaires atlantiques
Agadir
Safi
Oualidia
Sidi Bouzid
Asilah
Laayoune
Dakhla
Essaouira
El Jadida
Larache
Tourisme culturel

La notion de tourisme culturel a besoin d'être plus clairement définie: existe-t-il des marchés spécifiques, au regard de spécificités, d'une part des offres de la filière et d'autre part des pratiques des touristes. En quoi se différencie le tourisme culturel d'autres filières dans le tourisme ?
Le tourisme culturel a en effet un sens très large. Si des touristes culturels sont des voyageurs dont le motif culturel est au centre du voyage, on peut aussi considérer comme des touristes culturels les touristes qui veulent se reposer et qui, dans 80 % des cas, visitent au moins un monument ou assistent à un événement culturel sur leur lieu de vacances.
Les formes de tourisme culturel peuvent en effet être variées: la découverte d'une nouvelle culture et d'un nouveau pays, la visite du Patrimoine ou bien un voyage motivé par une manifestation culturelle.
Villes impériales du Maroc:
Marrakech
Fès
Rabat
Meknes
Les monuments romains :
Volubilis
Banasa
Lixus
Tamuda
Cotta
M'soura
Thamusida
Sala Colonia
Pour dynamiser le secteur du tourisme, le gouvernement marocain a récemment lancé le programme Plan azur qui consiste en la création de 6 nouvelles stations balnéaires (Saidia, Lixus, Mazagan, Mogador, Taghazout et Plage blanche) afin de drainer environ 10 millions de touristes à l'horizon 2010. Le nombre de touristes qui ont visité le Maroc en 2009 était de 8,8 millions.
Quelques règles pour éviter les problèmes avec votre taxi au Maroc

Exigez le compteur, surtout si vous êtes à proximité d’un représentant de l’ordre.
N'hésitez pas à partager un taxi avec des marocains, eux connaissent les itinéraires, et réagiront si ils se font avoir. Dites haut et fort où vous allez.
En cas de litige, il y a toujours un policier pas loin, ou bien menacez de noter le numéro, vous vous ferez insulter...mais pas arnaquer !
Responsable, équitable et durable

L'environnement écologique paraît primordial quant à l'organisation du secteur. Le pays présente une importante variété et beauté des paysages et des sites naturels qui attirent chaque année plus de touristes. En 2003, le ministère du tourisme a ainsi créé le concept du pays d'accueil touristique (PAT) qui s'inscrit dans la stratégie « plan niche et rural » et qui vise à valoriser et développer les ressources humaines et naturelles des régions rurales, à attirer les touristes vers les différents territoires de l'arrière-pays et organiser l'offre touristique d'après un territoire bien défini. Le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts (HCEF) prend en charge les ressources naturelles et leur gestion, et propose des projets de loi pour la protection de l'environnement marocain ainsi que des plans de préservation (parcs nationaux…). Ces initiatives visent à sensibiliser la population marocaine à propos des richesses naturelles du pays et lui permettent d'investir dans ce secteur en présentant des appels d'offres « écotourisme ».
En créant la Charte du tourisme responsable, le Maroc s’engage à faire du tourisme un «instrument de paix et de compréhension internationale ».
Le Tourisme Durable en question

Lors d’un récent focus group initié par le ministère du tourisme dans le cadre des concertations participatives avec les entreprises touristiques et dont le thème principal était le Tourisme Durable, nous étions quelques agences de voyages membres du Club RMA à participer. Cette réunion faisait suite à une série de consultations auprès des hôteliers, des associations professionnelles, des Fédérations de métiers et de quelques acteurs majeurs. En introduction, nous eûmes droit à un bref rappel des principes fondateurs de la vision 2020 dont le volet développement durable constitue un pilier important que personnellement je qualifierai de « 5ème élément ». Les participants eurent à répondre à trois questions principales qui devraient permettre aux consultants d’identifier les traits communs des besoins et attentes des acteurs et partant concevoir des outils à même de répondre auxdits besoins. A la question : comment définissez vous un tourisme durable, nous étions tous convaincu que c’est le grand oubli de la vision 2010 et ce malgré la mise en place du Comité Marocain du Tourisme Responsable en septembre 2006. Ce comité dont j’étais membre fondateur es qualité s’est attelé à mettre en place une charte du Tourisme responsable avec l’édition d’un guide du Touriste Responsable et la création d’un label dédié. Sur le dernier point, il ya eut effectivement le label Clefs vertes qui a été mis en place, mais malheureusement , les unités hôtelières qui ont joué le jeu se comptent sur les doigts. Pour le reste, nous en étions resté au stade d’annonce sans plus. Le terme responsable et durable ne faisant pas partie des priorités de la vision 2010.
Aujourd’hui le tourisme durable est une réponse aux attentes des touristes qui veulent participer au développement des communautés dans la recherche d’un véritable équilibre social, économique et environnemental. A ce sujet, nous avons émis des réserves quant à la surexploitation des ressources naturelles et plus particulièrement l’eau qui s’amenuise de plus en plus surtout dans des périodes de sècheresse de plus en plus fréquentes. Les raids sauvages de 4×4 qui sont programmés au Maroc sans aucune restriction ont également été montré du doigt du fait des dégâts collatéraux qu’ils commettent dans les régions traversées : destruction de dûnes, traumatisme de la faune et déchets non dégradables laissés sur les lieux.
En milieu urbain, la construction d’immeubles de 5 étages dans le Gueliz, autrefois zone villas, a crée un véritable encombrement dans le stationnement et la circulation avec des pics de pollution qui dénaturent la qualité de l’air. La médina aussi n’échappe pas aux encombrements et surtout à la pollution des cyclomoteurs qui pullulent intra muros. Nous avons émis le souhait de voir les calèches reprendre leur droit dans cette partie de la ville avec une augmentation de leur nombre qui stagne depuis 1935 à 230 équipages. Ce type de transport outre son coté typique est également écologique et serait un excellent label pour notre tourisme. Sur nos besoins en matière d’information, de formation et d’accompagnement pour adopter une démarche durable dans nos activités, nous avons répondu :
En matière d’information et de sensibilisation de la société civile et des visiteurs, un site internet dédié , avec du contenu , mis à jour régulièrement et interactif. Sur la partie front office, des cartes , des circuits , des sites archéologiques, géologiques , naturels etc…des forums de discutions entre professionnels, administration et touristes. Enfin une liste des acteurs ayant adopté une démarche responsable tels que les agents de voyages, les unités d‘hébergement, les restaurants et autres.
Sur le plan économique, il faudrait sincèrement penser à défiscaliser les acteurs évoluant en milieu rural tels que les muletiers, l’habitant en général qui reçoit des touristes et surtout les achats effectués chez les paysans pour les besoins de la restauration des randonneurs. En fait , la difficulté réside dans l’obtention de factures probantes pour justifier les dépenses et cela est une contrainte pour les opérateurs et pour les populations locales. Une exception devrait être envisagée, pour permettre un traitement équitable de ces populations et endiguer l’exode rural.
Des centres de formation pour tous les acteurs avec des stages réguliers afin de mieux maitriser les gestes de bonnes pratiques, d’adopter et de partager une éthique responsable dans l’objectif final serait une labellisation connue et reconnue : clefs vertes, pavillon bleu, zéro Carbonne etc.….inclure le tourisme durable, comme matière dans les écoles, collèges et lycées pour une véritable efficacité de la démarche.
Sur notre contribution afin de positionner le Maroc comme une destination durable, l’engagement est unanime et total par une communication et une sensibilisation de tous nos partenaires et collaborateurs aussi bien en interne que lors des rencontres internationales. Nous nous engageons également à créer des emplois en milieu rural, rémunérés équitablement et profitant en premier lieu aux populations locales que nous accompagnerons par de la formation continue.
Cette démarche se fera dans l’optique de réduire la précarité dans le respect de la dignité en aidant à la mise en place d’activités touristiques génératrices de revenus telles que la culture bio, et un artisanat lié à la consommation par les restaurants et les hôtels. D’ailleurs, lors d’une journée de réflexion que l’on avait tenue le 27 novembre 2010 à la veille des Assises du Tourisme, nous avions identifié un certain nombre d’AGR pouvant être rapidement mises en place dans notre région.
Pour conclure, le tourisme durable est un véritable levier économique et social qui doit aujourd’hui être pris en considération par l’ensemble des professionnels du tourisme. De plus c’est un argument marketing très fort pouvant positionner la destination dans le top des best practices mondiaux. Il nécessite une véritable mobilisation et prise de conscience pour sauvegarder notre patrimoine naturel et culturel, notre authenticité qui fait aujourd’hui notre richesse et enfin un héritage à laisser aux générations futures. Il ne s’agit nullement de faire dans le « washing grenn », mais d’engager une dynamique volontariste et de s’assurer de la participation de tous.
« Le tourisme est d'abord un pont entre les peuples et les civilisations, un acte de brassage humain et culturel et une ouverture assumée sur l’autre et sur la modernité. Un tourisme propre et responsable, parce que respectueux de l’homme, de la nature, de l’environnement et des règles et lois qui régissent le secteur. »
Sa Majesté le Roi Mohammed VI a fait du tourisme l’une des priorités nationales avec une orientation claire : le tourisme responsable. Le plan « Vision 2010 » prévoit les mesures et les actions précises permettant de concrétiser l’objectif d’un tourisme jouant pleinement son rôle dans le développement du pays. Parmi les nombreuses initiatives, figure la Charte Marocaine du Tourisme Responsable.
Touristes, conformez-vous aux usages d'un pays musulman

Le Maroc s'étant beaucoup modernisée, il n'est pas besoin d'adopter une attitude particulière. Enfin, il ne faut pas oublier que c'est un pays musulman, donc éviter tout de même les tenues "légères" en dehors des plages.
Morocco (المغرب al-Maghreb) is a North African country that has a coastline on both the North Atlantic Ocean and the Mediterranean Sea. It has borders with Mauritania to the south, Algeria to the east and the Spanish North African territories of Ceuta and Melilla on the Mediterranean coast in the north. It is just across the Strait of Gibraltar from Gibraltar.
http://wikitravel.org/en/Maroc
Interdits légaux au Maroc

Tariq Ramadan dit du tourisme marocain

 

"Le Maroc est aussi un pays de toutes les contradictions. J’entends encore les mots de certains touristes français, ou anglais, ou américains me parler de leurs séjours marocains. Trouvant à Casablanca, à Marrakech ou même à Tanger, les espaces de cette liberté chérie en Occident. C’est un pays, disent-ils, où le soleil est gratuit, l’alcool et la drogue bon marché, la prostitution jeune, discrète et peu chère. C’est le pays des nouveaux casinos qui colonisent des esprits, détruisent des vies, déciment des familles. Le Maroc qui devrait offrir de son être est colonisé au cœur de son être par les pires excès des sociétés industrialisées. La logique économique, et touristique, semblerait avoir raison, peu à peu, de l’âme marocaine."

"Se peut-il qu’il en soit ainsi ? Se peut-il que les Marocains s’ignorent tant qu’ils acceptent d’être emportés par la culture de l'ivresse de l'alcool, des casinos et des drogues et que leurs enfants soient les proies faciles d’un tourisme sexuel immoral. Se peut-il vraiment ? Au Nord du Maroc, j’ai tourné mes yeux vers la mer et j’ai aperçu au loin une belle embarcation aux allures d’un bateau royal. J’ai souri et pensé à tous ceux qui sont, soit responsables des réformes, soit qui y aspirent. Mon imagination et mon cœur leur envoyèrent ensemble une requête : ne laissez pas le Maroc perdre son identité au nom d’impératifs financiers destructeurs. Au-delà de vos contradictions, n’est-il donc point possible de réconcilier tradition et ouverture, liberté et dignité ? Ce ne devrait point être le tourisme qui colonise de ses excès le Maroc mais ce dernier qui offre à ses touristes le sens de l’être, du don et du respect." (Source)
Transport au Maroc

Agences de voyage au Maroc

 

Amine, guide du désert marocain
Hébergement et Restauration au Maroc / Accomodation & Places to Eat in Morocco

Lieux les plus visités

Marrakech

Marrakech est une ville d'environ de 2 millions d'habitants, lieu de tourisme par excellence Marrakech a su garder son authenticité. La ville est composée de deux parties: la nouvelle ville et l'ancienne ville. Celle-ci est beaucoup appréciée par les stars sans doute pour ses ruelles étroites, ses jolies riads ainsi que la population qui est accueillante et chaleureuse. La nouvelle ville est tout le contraire de l'ancienne ville: nouveaux bâtiments, grands magasins, palmeraies, golfs, parcs, hôtels, discothèques, piscines... Marrakech est souvent appelé le deuxième Ibiza sans doute à cause des nombreuses discothèques que compte la ville ainsi qu'à cause des grands DJ qui viennent dans les discothèques (David Guetta, Martin Solveig...). Surtout à ne pas rater à Marrakech : la place Jamaa El Fna, la koutoubia, la Vallée de l'Ourika.
Fès

Fès est la capitale spirituelle et culturelle du Maroc. On peut y visiter l'Université Al Quaraouiyine, l'une des plus anciennes du monde arabe avec son style arabo-andalou, la médina qui est classée patrimoine universel de l'UNESCO, puis aux alentours de Fès la station thermale de Sidi Harazem et les ruines romaines du Volubilis.
Taroudant

Considérée comme la grand mère de Marrakech, Taroudante est l'une des villes les plus anciennes du Maroc. Taroudant est célèbre pour son artisanat très varié (le travail du cuir, tannerie, la poterie, etc...) et offre des paysages splendides.
Essaouira

Le nom Essaouira pourrait être la traduction arabe exacte du terme berbère Amgader. En effet, s'il a existé un marabout à proximité alors nommé Sidi Mogdul – tombeau d'un saint, point de repère jadis pour la navigation côtière – l'affiliation de ce terme à celui de Mogador n'est pas certaine au regard du sens tant dans la langue arabe que berbère. La sonorité Mogdul/Mogador reste cependant proche. Il est fréquemment rapporté que Amogdul, nom berbère de la ville, signifie «la bien gardée», mais qui évoque, outre un saint patron (Sidi Mogdul), des fortifications particulières. Or un site fortifié – remparts et tours de défense, civil ou militaire – se dit en berbère « Agadir ». Et l'adjectif amgader signifierait « fortifié », ce qui est proche des noms transcrits par les Portugais puis Espagnols. Cependant, Sidi Mogdul pourrait lui même être Sidi Mogdour, le protecteur, celui qui fortifie, Mogdour étant assez répandu en Afrique du Nord.
Al Hoceima

Al Hoceima est connue grâce à ses plages au sable fin et sa faune riche (dauphins, différentes espèces d'oiseaux...). Des randonnées permettent de découvrir entièrement la région.
Ouarzazate

Ouarzazate est le point de départ pour les amateurs de randonnées, à pied, en 4X4, en VTT ou à dos de dromadaire ... Le Sud de Ouarzazate contient de grands espaces désertiques. Des randonnées en montagne sont aussi organisées. La Kasbah de Taourirt, un village dans la ville, classée au Patrimoine Mondial par l'Unesco, est à découvrir pour voir la culture du pays.
Saidia

Saidia est une toute nouvelle station balnéaire et méditerranéenne dans le pays, du côté de la région d Oujda, elle se voue à devenir l'une des plus importantes stations dans la région, un peu comme la côte d'azur marocaine .
Mazagan

Mazagan est une nouvelle station balnéaire, une nouvelle destination luxueuse par excellence, la ville se situe sur la côte atlantique marocaine, près de la ville d'El Jadida et propose des paysages divers, et exotiques.
Merzouga

Merzouga est un petit village saharien situé dans le sud-est du Maroc à 35 kilomètres de Rissani et à 50 kilomètres de la frontière algérienne.
Agadir

Agadir est une ville touristique du royaume, mais est en perte de vitesse pour la pauvreté culturelle. Bien que pas très agréable lieu de destination de vacances, la ville est une station balnéaire pour le tourisme sexuel. Agadir est une ville qui bénéficie d'un ensoleillement de 300 jours par an.
Casablanca

Capitale économique du pays, Casablanca est la troisième ville touristique du Maroc. On y vient surtout pour les affaires. Bien que Casa n’a pas la même vocation que ses consœurs (Marrakech, Agadir), la ville ambitionne de prolonger la durée de séjour de ses visiteurs qui n’excède pas deux jours en moyenne. C’est dans ce but que le Conseil régional du tourisme a lancé des plans spécifiques pour mettre en place les infrastructures adéquates.
 

Tourisme à salé / Tourism in Salé

 

Tourisme à Merzouga / Tourism in Merzouga

 

Tourisme à Taroudant / Tourism in Taroudant

 

Tourisme à Ifrane / Tourism in Ifrane

 

Tourisme à Imouzzer Kandar

 

Tourisme à Errachidia

 

Tourisme à Safi

 

Tourisme à El Jadida

 

Tourisme à Meknès

 

Tourisme à Marrakech

 

Tourisme à Essaouira

 

Tourisme à Beni Mellal

Tourisme à Casablanca

 

Notre Dame de Lourdes à Casablanca
Tourisme responsable

Tourism in Morocco

Actualités

Le tourisme sinistré au Maroc

La saison se présentait donc déjà mal au Maroc, avec un recul de 10% des recettes touristiques attendues pour 2011. Ce chiffre va probablement exploser.
Les conséquences de cette désaffection vont être désastreuses au momen toù le royaume marocain tente de mobiliser des investisseurs internationaux pour faire franchir un nouveau pallier au secteur du tourisme. Le plan 2011-2020, lancé fin 2010, fixait comme objectif de faire du pays la vingtième destination touristique mondiale, avec 13,5 Mds € de recettes touristiques et un million d'emplois créés. Les investisseurs semblaient au rendez-vous. Four Seasons, Starwood, Rocco Forte, Mandarin Oriental doivent ouvrir prochainement des hôtels de luxe.
Tout est maintenant remis en question. Le Maroc devrait rejoindre des pays sinistrés touristiquement comme la Tunisie et l'Egypte qui enregistrent en 2011 des baisses de réservations de l'ordre de 80%.
Or dans ces trois pays le tourisme constitue l'un des principaux moteurs de l'économie. Ainsi, au Maroc, le tourisme représente 10% du produit intérieur brut (PIB). Plus de touristes signifie plus de travail et littéralement plus de moyens de subsistance pour des centaines de milliers de personnes. Un véritable séisme qui va ébranler par ricochet tous les autres secteurs et pourrait provoquer de nouveaux troubles sociaux.
Une trop forte dépendance au tourisme

..."Selon un récent rapport du Cercle des économistes de la Fondation Bouabid (socialiste), c’est toute la stratégie de développement du Maroc basée essentiellement sur le triptyque agriculture, tourisme, immobilier qui est à revoir. Certes, le gouvernement s’emploie à explorer de nouvelles voies pour sortir le royaume de sa forte exposition à ses secteurs phares, mais cela demeure loin d’être le cas. Sur le volet tourisme, le rapport affirme que ce dernier ne peut être le moteur de la croissance marocaine que certains imaginent. «Ceux qui donnent l’Espagne en modèle falsifient trop souvent l’histoire», prévient le rapport.
Selon ce dernier, la transformation de l’Espagne en pays riche et prospère fait certes la part belle au tourisme à partir des années 60, mais seulement en tant que contributeur de devises. Ce qui a permis l’importation des biens de capitaux qui, à leur tour, ont permis l’industrialisation de l’Espagne. Un cercle vertueux qui a fait émerger le voisin ibère jusqu’à la crise actuelle. Les recettes touristiques du Maroc représentent déjà 20% des exportations totales de biens et services du pays, contre seulement 14% en Espagne. Ce qui revient à dire que le Maroc est déjà trop dépendant de ce secteur. Pire, le risque terroriste amplifie cette dépendance aux aléas de la conjoncture politique".
Place Jamaâ el-Fna
Printemps arabe : le tourisme en chute libre au Maroc

Les effets des marches du 20 février dernier au Maroc se font fortement ressentir sur le secteur touristique. A Marrakech, les réservations auraient depuis reculé de 40%. En plus de la baisse des réservations, la ville ocre aurait déjà cumulé l’annulation de 20.000 nuitées depuis dimanche 20 février. A ce rythme, la destination Marrakech court à la catastrophe nous fait savoir l’Économiste. Et il lui faudra au moins huit mois pour se relever ! – Ce repli de 40% des réservations concerne les mois d'avril et mai, périodes habituellement très demandées par les touristes. - Le tour opérateur FRAM annonce ainsi une baise des ventes de 50%. Alpitour, Expedia et Go voyages connaissent eux aussi un ralentissement des réservations sur Marrakech, autant de TO pour qui la destination Maroc est l’un de fers de lance. – La destination, victime des évènements dans le monde arabe mais aussi des amalgames faits par les médias à l’international, voit aujourd’hui avec inquiétude les marches du 20 mars.
 

4 au 13 Septembre 2009. Foire de Pau

21/08/2009 Le Maroc organise sa première "Académie des Experts"

L'office de tourisme marocain continue de surfer sur son programme "Les Experts du Maroc" dédié aux agents de voyages. Un nouveau volet "a pour objectif de récompenser les efforts de tous les agents ayant validé l'ensemble de la formation en ligne tout en leur faisant découvrir les attraits de la destination".
L'opération prévoit de réunir, du 1er au 5 octobre prochains, des agents de voyages sélectionnés par l'OT du Maroc et originaires de 6 pays européens, dont une centaine en provenance de France (des départs sont prévus depuis 7 villes de l'Hexagone).
Sur place, les invités pourront découvrir Agadir, Marrakech et le nouveau resort Mazagan sur la côte atlantique. Au programme, l'OT annonce notamment : atelier faune et flore, équitation, dîners et soirées animés, découverte d'un village troglodytique, tyrolienne dans le Haut Atlas et "de nombreuses surprises"…
Information : http://www.expertsdumaroc-pro.co

 

Tyrolienne
Informations

Charte Marocaine du Tourisme Responsable

Trophée du tourisme responsable au Maroc

Contributions

 

Tourisme rural au Maroc

 

Route du Sel au Maroc

 

Cercle des antiquaires marocains

 

Des jeunes du mouvement du 20 Février ont organisé vendredi un sit-in à Marrakech afin de dénoncer l’attentat meurtrier de la veille...

Guides touristiques

Maroc, Lonely Planet, avril 2005 - Sans négliger le culturel, ce guide a avant tout une vocation sportive.
Maroc, Céline Debayle, Arthaud, janvier 2001 - Un guide sérieux et fiable, à la fois culturel et pratique.
Maroc, Petit futé, Collection Country guides, 2004. La quatrième édition d'un guide avant tout pratique, dans la fameuse série du Petit futé.
Maroc, Hachette-Tourisme, Collection Guides du Routard, janvier 2004
L'édition 2004-2005, d'un guide que l’on ne présente plus. Il propose des informations plus ou moins détaillées sur les principales régions touristiques. Le Routard est connu pour ses bonnes adresses, son ton très direct et une certaine éthique. Pistes du Maroc (tome 1), Jacques Gandini, Extrem' Sud, 2006 195 itinéraires dans le Haut et le Moyen Atlas, avec le relevé de 3650 points GPS, totalisant plus de 10 000 kilomètres de pistes
Maroc, Michelin, Collection Guides Verts, février 2001 - Encore un guide que l’on ne présente plus, mais qui a évolué récemment : des photos, des conseils pratiques… et toujours les fameuses étoiles propre aux guides Michelin.
Maroc andalou (Le), Édisud, Collection Guides de Musée sans frontière, 2000
Huit itinéraires touristique à travers le Maroc pour découvrir l’architecture andalouse.
100 adresses de charmes au Maroc, Filipacchi, mars 2002 - Une sélection d'hôtels et de restaurants
Maroc des Marocains (Le), Liana Levi, Collection Un autre guide, février 2002
Un guide pour visiter le Maroc sans les monuments. Une des meilleures approches de ce pays.
Marrakech et sa région, Arthaud,Collection Vacances secrètes à..., 2001 - La découverte du Sud marocain avec les conseil d'un Français qui y vit depuis 10 ans.
Hôtels et maisons d'hôtes de charme au Maroc, Payot & Rivages, Collection Guide de charme, 2004
125 adresses de charme, riads, kasbahs, fermes… luxueuses ou modestes mais qui assurent toutes un dépaysement
Maroc, Haut-Atlas, Moyen Atlas, Sirwa, Saghro, Nathan, 2002
Un coffret de trois volumes : Un album photographique , un guide de voyage et un guide de randonnée
200 campings ou aires d’accueil visités, analysés et classés par catégorie - édition 2007-2008
Guide des merveilles de la nature au Maroc, Arthaud, Collection Guide des merveilles de la nature, avril 2003 - Les plus beaux sites naturels du Maroc étudiés dans le détail (géologie, faune, flore...)
Maroc, carnet de voyage, Petit futé, Collection Les carnets de voyage, mars 2003 - Un mini guide touristique pour voyageur pressé et plus en charge par un voyagiste
Gravures rupestres du haut Atlas, Édisud, 2000
Une carte de randonnée
Pistes du Maroc (Tome 5) : La chaîne du Rif - Jacques Gandini, Extrem' Sud, novembre 2003
Le premier guide sur la chaîne du Rif (35 itinéraires)
Pistes du Maroc (tome 4) : L'Oriental
Jacques Gandini, Extrem' Sud, 2003 Le premier guide de l'Oriental marocain, de la Méditerranée à Figuig Maroc, Hachette-Tourisme, Collection Guides Bleus, 2005
Un bon guide pour une découverte, plutôt culturelle, du pays
Montagnes du Maroc - Trekking et ski de randonnée Hervé Galley, Olizane, Collection Olizane aventure, 2004
22 treks dans les quatre massifs montagneux les plus réputés du Maroc : Toubkal, Haut-Atlas Central (Mgoun), Siroua et Sahro, et 54 randonnées ou raids à ski dans les vallées du Toubkal et du Mgoun.
Piste du Maroc (tome 6) : le Sahara atlantique
Jacques Gandini, Extrem' Sud, 2007 Un guide de voyage au Sahara Occidental
Maroc, premières pistes
Jacques Gandini, Serre, 2006 Pour débuter : une vingtaine de parcours représentatifs des régions les plus connues des randonneurs 4x4 au Maroc